L’ostéopathie structurelle crânienne s’applique à l’humain comme à l’animal selon des principes communs. Elle répond avec efficacité aux plaintes de l’Homme qui commence sa vie à 4 pattes pour la poursuivre sur les deux de derrière et la finir à trois pattes. Mais elle donne des résultats tout aussi satisfaisants chez nos amis à deux ou quatre pattes. Il était donc normal d’écrire cet article à 4 Mains. 

Retrouvez deux articles parus dans la revue Ostéo4Pattes et co-rédigés par Gilles Boudéhen co-directeur et co-fondateur de l’Institut de Formation Supérieure de Rennes et Francois Lecuyer Gemeline, Directeur des études de Biopraxia.

Le concept Crânien Structurel® - Partie 1 : Le concept

L’ostéopathie crânienne est un concept fondé par W.G. Sutherland. « L’Idée folle », l’intuition de la possible mobilité des os du crâne est née il y a plus de 120 ans chez ce génie passionné d’anatomie. Si le modèle a évolué, il est aujourd’hui bien référencé et enseigné dans toutes les écoles d’ostéopathie au monde. Dans la suite des ostéopathes, les médecins et les vétérinaires appliquent cette méthode sur leur patientèle humaine ou animale selon les mêmes concepts. Cette ostéopathie que l’on qualifie de fonctionnelle ou de fluidique a bien vite largement dépassé la seule sphère crânienne pour trouver ses applications sur le corps entier.

Cependant depuis le début et encore aujourd’hui cette façon de pratiquer et d’imaginer la lésion au niveau du crâne n’est pas acceptée par tous les ostéopathes. Le Mouvement Respiratoire Primaire (MRP) n’ayant pu être mis en évidence de façon irréprochable et scientifique, la controverse sur l’existence ou non du MRP demeure. Le but ici n’est pas de chercher à savoir si le MRP existe ou pas, mais de s’en exonérer comme « moteur » du soin. Nous pensons que nous pouvons faire de l’ostéopathie crânienne sans évoquer ce concept, sans se fonder sur la croyance ou non en l’existence du MRP.

Nous allons nous appuyer sur une lecture anatomique reconnue par le monde scientifique non-ostéopathique ainsi que sur des données simples et connues de mécanique des matériaux. [...]

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Le concept Crânien Structurel® - Partie 2 : En pratique

La correction d’une lésion tissulaire réversible (LTR), telle que définie dans la première partie [1] par utilisation d’une contrainte lente exige du praticien une mise en place et une organisation architecturale de son corps très stricte. La LTR doit être circonscrite et les paramètres de la lésion que nous trouvons au test doivent parfaitement être reconstruits par le praticien. Le but est de regagner de l’élasticité dans le conjonctif là où il en a perdu et dans la direction, le sens et la profondeur de la restriction.

En ostéopathie crânienne structurelle humaine :

Le principe d’utiliser une table basse, à hauteur des genoux du thérapeute permet de faciliter le transfert de masse au sol au travers du conjonctif en lésion. Seule une parfaite gestion de la gravité permet au praticien de gérer passivement la vitesse de pénétration ou de traction du conjonctif. [...]

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